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Pour conclure

Notre controverse est un sujet très difficile à traiter au vus du manque d'informations disponibles en occident et de la difficulté évidente de traduction. La controverse à l'échelle Chinoise, n’existe pas réellement. C'est-à-dire que depuis l'occident, il est difficile de remarquer des signes d’oppositions en Chine, et les seuls personnes susceptibles de l'être sont emprisonnées, déportées où disparaissent. Cependant n’oublions pas que nous n’avons pas l’avis général réel des citoyens qui le vivent, et il s’agit là de l’acteur subissant l’action directe de la surveillance. En occident, la population générale n’est pas, ou peu, au courant de la situation, mais certaines personnes comme des journaliste, ONG, émettent des plaintes à l’encontre du gouvernement chinois.

Le sujet controversé de ce système est son empiétement sur des droits fondamentaux , tel que la liberté d’expression ou à la vie privée. Cependant, rien ne peut être fait et aucun soutien ne peut être prodiguer puisqu’il n’y a pas d'opposition concrète, en Chine, qui aurait une chance de faire changer ce système. La nuance entre protection et contrôle est faible et le gouvernement chinois n’est pas enclin à la négociation.

D’un autre côté, ce système permet une obéissance civil et une sécurité accrue. D'autant plus que c’est par ce système que la Chine lutte contre toute sorte de danger, comme le trafic, les crimes, ou encore le Coronavirus. L’efficience de ce système n’est pas à remettre en question mais ces restrictions d’utilisations le sont.

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Ce sujet est d'autant plus d’actualité que le mardi 12 mai 2020, des caméras sont utilisé à châtelet en France, à Paris, pour savoir si les passants portent des masques ou non. Une extension de ce système chinois au reste du monde, est  redouté par bon nombres de personnes mais reste néanmoins possible et envisageable. Par exemple pour faciliter les Etats à traiter des situations de crise, comme des pandémies…

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